Les artistes du vendredi

A Nantes, une exposition de la Dutch Moder Guild (association de patchwork moderne aux Pays-Bas).

Sleepless par Andrea Haker

Winderenergie par Marina Brito de Campos
omicron par Inge Schoonderwoerd
Line Dance par Ine Sweere
Escape par Ine Sweere
Een nieuw begin par Janneke Riel
Dutch Penny sampler
Danse des couleurs par Marion Bartels.
Closing the loop par Cindy Vissering
Clear Mind par Esther Frenzel

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20 réflexions sur « Les artistes du vendredi »

  1. Merci Emma pour ce partage. Très beau travail, beaucoup de diversité. J’aime les formes , les couleurs . Les pointes sont très bien exécutées. Bravo

    1. Ce n’est pas du travail d’amateur !! Si quoi que ce soit était mal exécuté, ce ne serait pas à cette expo. Il ne faut pas voir ces travaux comme les nôtres, de même qu’on ne comparerait pas un peintre du dimanche et un peintre célèbre. Ici c’est seule la création qui est importante, car il va de soi que l’exécution ne saurait être approximative.

    1. Le rôle du quilting est désormais décoratif et non utilitaire. n’oublions pas qu’il s’agit ici de créations artistiques, et d’un loisir, rien de comparable au préoccupations amishiennes.

      1. Je ne parle pas des amish. Je parle du patch en général. Je suis d’accord avec vous que le quilting peut-être décoratif mais dans beaucoup de patch désormais, il n’a rien de décoratif, il produit l’effet inverse, pour moi en tous cas.

        1. Je plaisantais à propos des amish. Cela ne vous rappelle rien ? Cependant ils ont bcp pratiqué la récupération des vieux tissus. Dans les quilts modernes, on utilise ce qu’on appelle l’espace négatif, peut-être le savez-vous d’ailleurs. C’est le fond laissé vide mais structuré par un quilting élaboré. En conséquence le matelassage devient un élément aussi important que le reste , voire plus. C’est particulièrement le cas pour le premier présenté ici.
          Pour ma part, après une incursion plutôt enthousiaste dans le moderne, je suis revenue au traditionnel, avec parfois quelques mélanges. Récemment, j’ai fait un panneau incluant de jolies broderies sur toile de lin, et j’ai regretté de les avoir quiltées à l’excès. Le quilting machine peut être piégeant. Et comme ce n’est pas facile à découdre, il vaut mieux en effet y aller doucement.

          1. Je suis bien d’accord avec vous. Perso, quand il y a beaucoup de quilting sur de l’uni, comme le 1er, cela ne me dérange pas, par contre le Closing the loop, ça non, on ne voit même plus les tissus, on ne voit que le quilting. Peut-être parce que j’ai commencé le patch et donc le quilting au Rouvray, je reste sur ce qui m’a été enseigné : on quilte autour d’un motif pour le mettre en valeur. J’aime la sobriété du dernier. Mais il en faut pour tous les goûts …

  2. Superbe, j’aime beaucoup
    Merci pour ces belles photos
    J’habite près de Nantes et j’étais très déçue de ne pas avoir pû voir cette expo

    1. En effet the closing the loop a trop de reliefs, pas terrible sur la photo. Quant au dernier, c’est la reprise du motif par le quilting qui flatte l’œil et assure la cohérence. Mais je comprends les quilteuses professionnelles qui se laissent emporter. C’est assez addictif comme on dit.

  3. Des petites merveilles pour certains. Virtuosité et talent. De mon côté j’ai encore des progrès à faire !!!! Mais c’est inspirant.

  4. Merci de nous montrer tous ces quilts au fil des vendredis. J’en redécouvre certains! Pour info, le quilt « dutch sampler » est de Rachel Hauser (Stitched in color »)

  5. Beaucoup de virtuosité, certes mais le quilting est obsédant et rend les ouvrages cartonnés. Ils perdent de la souplesse et de la vie. C’est dommage

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