L’artiste du vendredi : Ealish Wilson

Découvrez aujourd’hui le travail innovant d’Ealish Wilson : Plissé, pliage, fronces, smocks se déclinent dans plein de matériaux (tissus, papiers, plastiques…), avec de la teinture, des impressions numériques… Une belle inspiration pour celles qui veulent travailler en volume!

 

Plus sur son site ici.

A lire aussi :

40 réflexions sur « L’artiste du vendredi : Ealish Wilson »

  1. Faire du plissé , des fronces , des smocks sur du tissu d’accord mais les mêmes choses sur du papier et du plastique … ces 2 matériaux se déchirent en tirant .
    L’artiste doit être très douée pour que le papier et le plastique ne se déchirent pas.
    Merci Emma mais je ne suis pas emballée par travail.
    Christiane.

  2. Une belle réalisation qui me rappelle les smocks de mes robes quand j’étais petite fille…Waouh!…C’était il y a …oh! tant d’années?!!

  3. Un travail traditionnel sur un support moderne.
    C’est de l’art moderne qui interpelle en positif ou négatif…;Mais ne laisse surtout pas insensible.

  4. Je n’apprécie pas vraiment le rendu, par contre la technique est fort intéressante et nous donne des idées à exploiter, c’est peut être le but.
    Qui va le reprendre dans une de ses créations, l,appel est lancé

    1. … je suis du même avis et oui pourquoi pas travailler un morceau en volume dans un prochain projet.. mais petit, dans nos cartes textiles. Chiche !
      Bon Dimanche

  5. J’ai adoré faire des smocks mais alors là je n’apprécie pas du tout ce travail qui me parait inutile sur un tel matériau de base, papier ou plastique. A force de vouloir être originale dans ces créations on ne peut plaire à tout le monde mais pour moi je trouve que c’est une perte de temps pour un rendu peu réussi

  6. L’art textile comme toute forme d’art touche à notre sensibilité: on accroche ou pas! Je trouve ce travail de volume très intéressant et très innovant. J’irai voir ce qu’il fait sur la toile.

  7. J’adore les volumes et la texture. Et si je trouve le moyen d’utiliser ça en papier aussi pour mon journal mixed media, alors je sens que mon planning du week-end va être bouleversé 🤗 Merci pour cette inspiration!

  8. Je suis allée voir son site : décidément je n’accroche pas. Je ne verrai cela nulle part chez moi, et assez loin du patchwork comme je l’aime.

  9. Je une fan de l’usage de techniques traditionnelles en art contemporain. Je trouve le détail et l’ensemble très intéressant, voire beau, merci

  10. L’Art Textile permet de s’exprimer en toute liberté et cette artiste semble « s’amuser » avec toute sorte de matières, sur les bandelettes de papier ou les petits carrés, il me manque juste quelques petits mots d’amour ou poétiques pour que l’oeuvre soit totalement achevée.
    Merci Emma pour ce partage.
    Amicalement

  11. Oui ce n’est pas du Patchwork tradi Mais c’est une forme d’art tEXTILE.
    Moi , j’adore car cela fait réagir et ainsi l’art contemporain progresse.il faut savoir créer …et oser. C’est la difficulté de faire du nouveau!!

  12. Ha !les somcks je connais très bien car j en ai eu quand j ai passer mon cap de couture a faire sur une robe et j ai eu mon diplôme , génial votre idée ..

  13. Très intéressant comme tous vos articles !
    Connaissez -vous les oeuvres de Simone Pheulpin en coton épinglé ?
    Exposées à Chaumont sur Loire cette saison, elles valent le coup d’oeil…
    Bon voyage

    1. je ne connais mais je suis curieuse de découvrir. Avez vous qq photos ? Si oui, merci d’avance. J’habite la Guadeloupe et donc pas d’expos possibles.

  14. Bien sûr les smoks existaient de « mon temps » mais les utiliser pour créer de l’Art textile ou pas, c’est innovant. C’est beau, c’est inspirant, le rendu me fait penser à l’origami. Merci à l’Artiste. Il faut continuer à embellir nos vies. Cro magnon assemblait déjà des peaux de bête pour se vêtir. Dépassé le « patchwork » ? Moderne ?
    Patricia

  15. Moi j’aime bien!!!
    C’est autre chose dans une autre dimension et cela demande juste de l’inventivité et beaucoup d’adresse et de passion avec beaucoup de ferveur au bout des doigts.
    C’est le même langage avec un mode d’expression diffÄ—rent c’est tout…
    Donc merci pour cette ouverture.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Je ne suis pas un robot ! Recopiez les chiffres suivants dans la case ci-dessous : *