L’artiste du vendredi : Claudine Janik

Aujourd’hui, je vous présente les oeuvres de Claudine Janik, artiste française qui teint et déteint ses tissus avec les techniques du Shibori.

Vous pouvez en voir plus sur son site ici.

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39 réflexions sur « L’artiste du vendredi : Claudine Janik »

  1. Bonjour Emma !
    Une fois encore,une très belle découverte !
    Merci pour ce partage !
    Je trouve ses œuvres originales et empreintes de plénitude, et je m’imagine bien faisant une petite (ou grande !) méditation devant l’une d’elle comme « géode « ou le « zen de broceliande »!
    Belle journée à vous et votre équipe !!

  2. Je pense que ça doit être un immense plaisir de voir se décolorer le tissu. ça me fait penser à des amibes ou tout autre micro-organisme…et puis surtout à quelque art primitif. je trouve ça très beau dans les tons naturels de terre, de lave, d’un monde en création….Je pense aussi à un pelage de quelque animal des savanes. Une porte qui s’ouvre vers l’imaginaire pur! Merci Emma.

  3. Ressemble à quelques tissus africains mais en plus tristes. Beaucoup de travail mais un peu trop sombre pour moi.
    Cela n’enlève pas le travail qu’il faut faire pour obtenir ce résultat. Merci Emma.
    Christiane.

  4. Toujours éblouie par l’imagination et la créativité de ces artistes…merci encore Emma d' »éduquer  » notre curiosité…super !😀🌞🌹

  5. Cela me fait penser aux empreintes laissées par les végétaux…. Une petite touche de couleur meme minime serait la bienvenue…. Mais ce n est que mon humble avis.

  6. J’aime beaucoup les motifs avec des formes rondes, beaucoup moins ceux à petits filaments
    La gamme de couleurs est un peu terne. Je pense aussi que le rendu devrait être plus intéressant sur de grands formats que l’on peut voir de loin à la manière, toutes proportions gardées, d’oeuvres de Soulages

  7. Je l’ai vu à Vannes, c’était extraordinaire, un travail époustouflant, avec ma fille, on était en admiration, de plus la dame était passionnante..

  8. J’ai eu la chance de voir ces œuvres « en vrai » à Vannes, c’était un enchantement. Certainement pas tristes, lumineux au contraire. On peut, comme moi, aimer les couleurs et être séduite par ces tableaux si originaux.

  9. A l’année prochaine à Vannes, oui, c’est sûr mais il faudra que tu me le redises, tu sais que ma mémoire de crevette ne retient plus tout !!! En tout cas, cela me fait plaisir de voir tes oeuvres ici présentées. Décidément, je maintiens que Emma a une sélection épatante 😉 Tes décolorations sont très régulières, je continue d’admirer car je sais comme ce peut être difficile d’éviter que ça fuse ! Les commentaires ci-dessus qui évoquaient des organismes microscopiques m’ont bien plu…. Mais je préfère encore l’évocation de motifs aborigènes. Allez, je décolle mon oeil du microscope et je rassure la personne qui souhaite des oeuvres de grande taille pour pouvoir les voir « de loin » : les oeuvres sont grandes et hautes et on peut les admirer de loin….. comme de près !!! Bisous Emma et bisous Claudine !! Et vivement que les expositions reprennent et que les salons ne soient plus annulés. Coronavirus, tu commences à nous fatiguer grave !

  10. Très heureuse de revoir ces oeuvres que j’avais admirées lors d’un salon , j’étais hypnotisée par ces tableaux , et je dois dire que l’artiste n’a pas été avare d’explications sur sa démarche , j’en suis ressortie émerveillée , c’était pour moi quelquechose de totalement inédit !!! Bravo ,

  11. Bonjour
    Fan de shibori entre autres j’aime beaucoup ce travail particulièrement ce qui ressemble à des feuilles de nénuphars
    La décoloration je ne connais pas. Y a-t-il une méthode précise ?
    Je vais continuer mes essais. Tous renseignements bienvenus.
    Amitiés
    Élisabeth

    1. c’est la même méthode que le shibori, sauf qu’on décolore, donc on a des motifs en inversé. Après, ça dépend des produits qu’on utilise, il y a sûrement beaucoup d’expériences à faire pour maîtriser comme celà. Mais c’est ça qu’on aime…

  12. Je suis étonné de lire dans plusieurs commentaires le mot « triste », dans un registre si négatif.
    Comme s’il fallait absolument qu’une oeuvre soit joyeuse, voire « gentille », « mignonne »… On n’a plus 7 ans…
    L’art est un langage universel, et si l’artiste arrive à nous parler de tristesse ou de mélancolie, elle réussit un sacré tour de force car ce sont des sentiments complexes qu’on a tendance à mettre de côté, comme des tabous, comme des pensées qu’on s’interdit d’avoir, en témoignent les commentaires dont je parle, qui semblent sortir d’une monde de bisounours.
    Néanmoins, celles et ceux qui n’y voit que ça n’ont pas bien regardé, car ces oeuvres sont de véritables danses, musiques, mouvements, paysages, sentiments, rythmes, et certainement pas un assemblage naïf de motifs et de couleurs.
    J’y vois personnellement un équilibre très maîtrisé, plein de subtilité, et s’il y a un jour de la tristesse, s’ensuit la joie, et puis peut-être de nouveau la tristesse, etc. car c’est comme ça que la vie fonctionne. Cette artiste le sait et elle nous le montre. Encore faut-il être capable de regarder.

  13. ça m’a rappelé les batiks que j’ai pu admirer lors de voyages. Les couleurs naturelles donnent un effet « relief » supplémentaire. Je préfère les couleurs plus joyeuses en ces temps perturbants et perturbés mais c’est un vrai bonheur de créer et de rester « nature »… Bravo !

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